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L’impact de Google au Canada - 2021

Principales constatations

En 2021, les outils Recherche Google, Google Play, YouTube, Google Cloud et les produits de publicité Google ont contribué à hauteur de 37 milliards de dollars aux activités économiques des entreprises, des organismes sans but lucratif, des éditeurs, des créateurs et des développeurs canadiens. Cela équivaut à 1,5 % du PIB total du pays, ce qui représente plus que l’impact économique des industries de la foresterie et de l’aéronautique réunies.



En 2021, Google a contribué à favoriser plus de 235 millions de contacts directs par mois, incluant des appels téléphoniques, des demandes d’itinéraire, des messages, des réservations et des avis pour les entreprises canadiennes.



En 2021, plus de 1,9 million d’entreprises et de commerçants indépendants au pays ont reçu des appels téléphoniques, des demandes d’itinéraire, des messages, des réservations et des avis ainsi que d’autres contacts directs de la part de leurs clients par l’entremise de Google.



72 % de l’ensemble des utilisateurs de Recherche Google ont déclaré qu’ils trouvaient l’outil important pour les aider à trouver une entreprise, tandis que 71 % des entreprises ont mentionné que la recherche en ligne représentait un moyen important pour que les clients trouvent leur entreprise.



L’équivalent de plus de 300 000 entreprises canadiennes (24 %) nous ont indiqué qu’il aurait été impossible de poursuivre leurs activités sans l’utilisation d’outils en ligne pendant la pandémie de COVID-19.



Au total, nous estimons que Recherche Google et Google Ads favorisent des exportations à hauteur de 1,7 milliard de dollars pour l’économie canadienne.



En ce qui concerne les gains de temps pour une année donnée, nous estimons que les services de Google pourraient amener une amélioration de la productivité équivalant à 30 milliards de dollars pour l’économie canadienne.



Au total, selon nous, grâce à Android, les développeurs ont fait un gain de plus de 600 000 jours à l’échelle du pays, ce qui correspond à une réduction de coûts de développement équivalant à 240 millions de dollars.



Depuis le lancement mondial du programme en 2018, plus de 10 000 Canadiens et Canadiennes ont complété un Certificat de carrière Google, ce qui leur a permis d’acquérir de nouvelles compétences pour des emplois à forte demande.



En moyenne, les Canadiens et Canadiennes nous ont mentionné qu’ils utilisent Recherche Google plus de 3 fois par jour pour faire des recherches personnelles. Cela représente plus de 3 000 000 de questions qui ont obtenu réponse, et ce, toutes les heures.

L’impact de Google par province

L’impact de Google par province

 
 
 
 

Introduction

Si vous souhaitez trouver un nouveau restaurant, une boutique locale ou une entreprise, vers quel outil vous tournez-vous en premier? Et si vous souhaitez aider un enfant à faire ses devoirs, en connaître plus sur les changements climatiques ou vous rappeler où vous avez déjà vu cet acteur? Et si vous voulez regarder un tutoriel pour réparer votre système de chauffage ou pour apprendre un nouvel accord de guitare?

Google s’est donné comme mission « d’organiser les informations à l’échelle mondiale pour les rendre accessibles et utiles à tous ». Grâce aux produits de Google, comme Recherche, YouTube et Android, il est possible d’avoir accès à toute l’information mondiale, de créer de nouvelles opportunités et d’améliorer la productivité des Canadiens et Canadiennes dans leur vie personnelle et professionnelle.

Les outils de Google comme Recherche, YouTube et Google Maps sont de plus en plus importants dans le quotidien d’une majorité de la population du pays. En moyenne, les Canadiens et Canadiennes affirment utiliser Recherche Google plus de trois fois par jour pour faire des recherches personnelles. Concrètement, Google répond ainsi à plus de 3 000 000 de questions de Canadiens et Canadiennes toutes les heures.

En matière de vie professionnelle, les outils de Google sont tout aussi essentiels. Chaque jour, des millions de Canadiens et Canadiennes collaborent grâce à Google Documents, apprennent de nouvelles compétences sur YouTube ou restent en contact grâce à des appareils Android comme les téléphones Pixel et Samsung. De leur côté, les entreprises canadiennes utilisent des services comme Profil d’entreprise pour se présenter au public, Google Cloud pour numériser leurs processus et Google Ads pour développer leur clientèle au Canada et ailleurs dans le monde.

Pour étudier les retombées des produits Google sur les familles, les travailleurs, les entreprises, les créateurs de contenu et les organismes sans but lucratif du Canada, Google a fait appel à Public First, un cabinet indépendant d’experts-conseils. Ce rapport montre que les produits Google sont très valorisés par la population canadienne et que Google est un moteur de croissance important au Canada.

Dans le présent rapport, nous cherchons à comprendre comment Google soutient le Canada ainsi que les Canadiens et Canadiennes sur les plans suivants :

  1. L’engagement de Google envers le Canada, y compris le soutien communautaire, le développement de la main-d’œuvre et les programmes locaux comme AchatsICI, propulsé par Google et Google for Startups Accelerator.
  2. L’impact de Google sur l’économie et les entreprises canadiennes, notamment en encourageant la création de nouveaux modèles d’affaires et en mettant en contact les entreprises avec une clientèle mondiale.
  3. L’impact des produits et des programmes Google sur les Canadiens et Canadiennes ainsi que leur famille, en les aidant à accomplir plus de tâches, à apprendre de nouvelles choses, à trouver un emploi et à réduire leur empreinte environnementale.
  4. Les opportunités générées grâce à la transformation numérique, surtout en lien avec le potentiel des technologies numériques clés, comme le commerce électronique, la publicité en ligne, le paiement numérique et l’apprentissage automatique.

Au total, en 2021, les outils Recherche Google, Google Play, YouTube, Google Cloud et les produits de publicité Google ont contribué à hauteur de 37 milliards de dollars aux activités économiques des entreprises, des organismes sans but lucratif, des éditeurs, des créateurs et des développeurs canadiens.

Cela équivaut à 1,5 % du PIB total du pays, ce qui représente plus que l’impact économique des industries de la foresterie et de l’aéronautique réunies.

Comment nous calculons l’impact de Google au Canada

Dans le cadre de notre recherche, nous avons utilisé une série de méthodes différentes pour

quantifier l’impact économique et l’utilité de Recherche Google, de YouTube, d’Android et d’autres produits de Google :

  • En nous appuyant sur le précédent créé par les rapports antérieurs sur l’impact de Google dans divers marchés, notamment le Canada, les États-Unis et le Royaume-Uni, nous avons utilisé la modélisation économique traditionnelle fondée sur des estimations par les tiers concernant la taille du marché de Google au Canada et ses rendements standard du capital investi (RCI) pour mesurer l’activité économique découlant des principaux produits de Google.
  • En collaboration avec les fournisseurs indépendants Dynata, MSI et Maru Blue, nous avons réalisé un sondage approfondi auprès d’un échantillon représentatif de plus de 7 000 personnes représentant chacune des provinces et chacun des territoires du Canada.
  • En parallèle, nous avons mené un sondage auprès de 2 000 hauts dirigeants de petites, moyennes et grandes entreprises représentant des secteurs différents.
  • Pour YouTube, nous avons intégré l’estimation d’Oxford Economics par rapport à l’impact économique total de YouTube au Canada en 2021.

Pour en savoir plus sur notre approche de modélisation, veuillez consulter la section Méthodologie dans l’annexe du présent rapport.

Public First est membre de la Market Research Society. Les tableaux complets avec toutes les données utilisées dans le présent rapport peuvent être téléchargés à partir de notre site Web ici et ici.

Bien que Google ait mandaté Public First pour la production du présent rapport, toutes les estimations économiques sont tirées de renseignements officiels, tiers et propriétaires à Public First.

 
 
 
 

L’engagement de Google envers le Canada

Appuyer les communautés canadiennes

Google s’est installée au Canada il y a plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’entreprise compte plus de 3 000 employés dans ses bureaux de Waterloo, de Toronto et de Montréal, et ce, dans les domaines de l’ingénierie, de la recherche en matière d’intelligence artificielle, de la vente et du marketing.

Depuis deux décennies, Google appuie des communautés locales partout au Canada grâce à des subventions et à des investissements de Google.org pour l’enseignement de différentes compétences numériques. En 2021, Google a versé 10,24 millions de dollars canadiens à des organismes sans but lucratif au pays comme NPower Canada, WeMatter, Indspire et ComIT pour qu’ils puissent offrir davantage d'opportunités économiques inclusives, encourager l’équité raciale ainsi qu’aider les Canadiens et Canadiennes à acquérir de nouvelles compétences.

Par ailleurs, Google pour les organismes sans but lucratif fait également des contributions non financières à des organismes sans but lucratif canadiens, notamment en leur donnant accès à des outils numériques essentiels pour la réalisation de leurs activités quotidiennes. En 2021, Google pour les organismes sans but lucratif a donné un accès à Google Workspace for Nonprofits à plus de
10 000 organismes canadiens, ce qui équivaut à une valeur de plus de 30 millions de dollars
et leur permet d’utiliser sans frais des services comme Gmail, Google Disque et Google Meet. De plus, grâce au programme Google Ad Grants, les organismes admissibles peuvent profiter d’annonces publicitaires financées sur Recherche Google, à raison d’un maximum de 10 000 $US par mois. Les organismes peuvent notamment s’en servir pour attirer les donateurs, se faire connaître davantage, recruter des bénévoles et plus encore. En 2021, le programme Google Ad Grants a offert l’équivalent de plus de 100 millions de dollars canadiens de publicité à des organismes sans but lucratif partout au pays.

Finalement, en 2021 seulement, les employés de Google au Canada ont fait plus de
4 000 heures de bénévolat
auprès d’organismes sans but lucratif œuvrant dans leur communauté locale.

Ann Maje Raider, Liard Aboriginal Women’s Society

Il y a plus de 20 ans, un petit groupe de femmes autochtones dans le nord du Canada a créé un organisme pour contrer les répercussions subies dans les pensionnats autochtones de la région. Connu aujourd’hui sous le nom de Liard Aboriginal Women’s Society (LAWS), l’organisme dispense des services de développement social de premier plan aux communautés Kaska du sud du Yukon et du nord de la Colombie-Britannique. Les femmes du groupe s’emploient à éliminer les obstacles qui empêchent l’émancipation économique, notamment la discrimination de genre, les déplacements culturels, les dépendances et la violence.

Au cours des 20 prochaines années, elles comptent aider encore plus de personnes en créant un centre virtuel afin d’améliorer considérablement les services et le soutien offerts aux femmes autochtones. Grâce à de la formation et à du mentorat tenant compte de la culture, le centre consolidera l’accès à des pratiques sécuritaires et adaptées à la culture qui aident les femmes autochtones à se remettre des violences, à réaliser leur potentiel économique et à améliorer leur qualité de vie.

Lors de la planification du centre, l’équipe a soumis sa candidature au défi 2021 Google.org Impact Challenge for Women and Girls, un événement qui contribue au financement d’organismes à hauteur de 25 millions de dollars américains afin de permettre la réussite des filles et des femmes. Parmi les 8 000 demandes reçues, LAWS a été l’un des 34 organismes sélectionnés. Grâce au financement, LAWS a pu obtenir les ressources nécessaires afin de commencer à bâtir le LAWS Centre Project pour les 3 000 personnes de la Nation Kaska, pour les femmes autochtones et pour les fournisseurs de services de la région. Grâce au défi Impact Challenge, LAWS a aussi été sélectionné pour participer à un programme intensif d’accélération pour les entreprises d’une durée de quatre mois. L’organisme a pu par le fait même recevoir du mentorat de la part d’experts Google en lien avec la conception d’interfaces utilisateur pour les offres de formation et de mentorat en ligne du Centre Project.

Pour citer les paroles d’Ann Maje Raider, aînée Kaska et directrice générale du Liard Aboriginal Women’s Society, « L’aide offerte par le défi Google.org Impact Challenge for Women and Girls permettra au LAWS Centre Project de soutenir les femmes autochtones qui sont parmi les plus marginalisées de la société canadienne, et de les aider à surmonter les barrières socio-économiques. Cette aide arrive à point nommé et sera utilisée pour créer un système d’aide entre les communautés, caractérisé par des femmes autochtones qui soutiennent d’autres femmes autochtones. »

AchatsICI, propulsé par Google

Une bonne présence en ligne représente pour les entreprises d’importantes opportunités de développement, d’innovation et d’emplois. Voilà pourquoi Google s’engage à aider les entreprises canadiennes à profiter de ces opportunités grâce au programme AchatsICI, propulsé par Google.

Le programme AchatsICI, propulsé par Google aide les petites entreprises à créer un site Web sans frais et offre des services de consultation aux petites entreprises qui souhaitent numériser leur offre de produits et de services. Puisque les sites Web sont conçus par des étudiants collégiaux et universitaires, le programme permet également aux étudiants canadiens de gagner de l’expérience et de développer leurs compétences numériques. Au moment de la rédaction du présent rapport :

  • Plus de 39 000 entreprises canadiennes se sont inscrites au programme AchatsICI, propulsé par Google, qui aide les PME à passer en ligne partout au pays.
  • Sur ces plus de 39 000 entreprises qui se sont inscrites au programme AchatsICI, propulsé par Google, 63 % s’identifient comme des entreprises gérées par des femmes et 25 % par des personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC).
  • Plus de 879 étudiants et diplômés universitaires et collégiaux ont été embauchés pour construire des sites Web destinés aux entreprises canadiennes, et ce, par l’entremise du programme AchatsICI, propulsé par Google.
  • Sur le nombre d’étudiants et de jeunes employés, 55 % s’identifient comme étant des femmes et 75 % comme des PANDC.

Marcos Arcentales, Bone & Quill

Marcos Arcentales est un joaillier chevronné, un entrepreneur aguerri et un artiste nommé aux prix Juno pour son album « The Condor Meets the Eagle ». Animé par le désir de combiner les matériaux et les motifs de ses racines Quechua-Mestizo du Sud avec l’inspiration des différentes traditions autochtones du Nord, Marcos a transformé sa passion en l’entreprise florissante qu’est sa boutique Bone & Quill établie à Tkaronto. On y trouve des boucles d’oreille, des pendentifs et des bagues, faits à la main et inspirés de l’histoire « The Condor Meets the Eagle », qui présage l’union des Autochtones et la solidarité entre le Nord et le Sud.

Lorsque la pandémie a commencé à se propager et que les confinements ont minimisé les déplacements, Marcos a dû fermer sa boutique ayant pignon sur rue et trouver une façon de faire passer son entreprise au numérique, aussi rapidement que possible.

Pour Marcos, le programme AchatsICI, propulsé par Google, a été indispensable pour mettre la boutique Bone & Quill en ligne, afin qu’elle soit prête à accepter les commandes. Avec le programme AchatsICI, Marcos a reçu du soutien gratuit pour créer un site de commerce électronique, ainsi que l’accès à de la formation individuelle et des conseils sur la façon de bien gérer et de maintenir sa boutique en ligne. Grâce à l’intégration sans faille de Shopify, Marcos peut facilement attirer des clients vers sa boutique en ligne, accepter des commandes et des paiements, en plus de publier des témoignages de clients, le tout en un seul endroit, de façon consolidée.


Marcos profite des leçons apprises lors de ses formations de marketing numérique avec AchatsICI lorsqu’il utilise Google Analytics. L’outil lui indique quels produits sont les plus populaires, ce qui l’aide à planifier son marketing, à prévoir ses stocks et à prendre des décisions éclairées à propos de futures gammes de produits. Les analyses fournies par Google Maps aident Marcos à géolocaliser les endroits de recherches à haut volume pour sa boutique, données qu’il utilise pour créer des placements publicitaires stratégiques.

Depuis que son entreprise est passée au numérique avec le programme AchatsICI, Marcos a observé une croissance continue de l’achalandage en ligne de Bone & Quill. La portée de ses clients a augmenté, passant des consommateurs locaux à pied, à des acheteurs provenant de partout au Canada et aux États-Unis, de Vancouver au Nouveau-Brunswick, en passant par Los Angeles et quantité d’autres villes.

Google for Startups Accelerator

Google aide également les entreprises canadiennes à prospérer à l’ère du numérique grâce à des programmes comme Google for Startups Accelerator, un accélérateur de trois mois pour les entreprises technologiques en démarrage, regroupées par cohortes comme Seed to Series A, Women Founders et Black Founders.

Les accélérateurs sont conçus pour offrir le meilleur des programmes, produits et ressources humaines de Google à des entreprises en démarrage qui utilisent l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle. En plus de proposer du mentorat et du soutien technique pour les projets, les accélérateurs comportent également des explications détaillées et des ateliers sur la conception de produits, le développement de la clientèle et le perfectionnement du leadership pour les fondateurs.

À ce jour, 60 entreprises canadiennes ont fait partie des cohortes nord-américaines de Google for Startups Accelerator. Pour en savoir plus sur les retombées du programme, nous avons lancé un nouveau sondage auprès de plus de 40 diplômés du programme.

Valerie Song, AVA Technologies Inc.

Valerie Song adore faire pousser les aliments qu’elle cuisine. Elle est persuadée que leur goût est encore meilleur. Mais, elle est aussi consciente que beaucoup de personnes n’ont pas suffisamment de lumière ou d’espace chez eux pour cultiver leurs propres aliments. Valerie et son cofondateur, Chase, ont lancé AVA Technologies Inc. pour résoudre ce problème : en offrant des abonnements à des jardins intelligents contrôlés par Wi-Fi, à des capsules de graines et à des semis pour que les gens puissent faire pousser leurs propres aliments chez eux.

AVA a connu une croissance rapide depuis sa fondation en 2017. En 2021, l’équipe a participé au programme Google for Startups Accelerator, d’une durée de trois mois, dirigé par Google Canada. Le programme a permis à l’équipe d’AVA de rencontrer des experts pour parler des défis liés au développement de leur jardin intelligent, AVA Byte.

Les experts les ont aussi aidés à réduire les coûts. Créer des graphiques et de la documentation pour chaque expérience était inefficace; l’équipe d’AVA a donc versé ses données dans la plateforme Google Data Studio. Ceci a permis de générer d’importantes observations qui ont aidé l’équipe, petit à petit, à faire pousser des plantes de façon plus efficace. L’équipe d’AVA a aussi compris l’importance d’adopter des cadres et de suivre des processus lors de la prise de décision, et elle continue de mener ses opérations avec cet état d’esprit.

En complétant le programme d’accélération, AVA a été en mesure d’améliorer son classement d’optimisation pour les moteurs de recherche, d’élaborer un nouveau guide de développement de produits et de réduire le nombre de bogues dans l’appli. Après le programme, l’équipe d’AVA a mis ses connaissances à contribution pour mener une campagne Google Ads lors du lancement d’un nouveau produit. Ils ont utilisé Recherche Google et les annonces du réseau Display pour générer plus de 500 000 impressions et 30 000 sessions uniques.

Le programme a aidé à asseoir la crédibilité d’AVA et – parce qu’ils avaient l’appui de Google pour aider à bâtir la notoriété de la marque – l’entreprise a été exposée à de nouvelles occasions de financement pour agrandir son équipe. L’entreprise emploie maintenant 20 personnes et propose plus de 30 différentes capsules de graines et de semis à ses abonnés. À mesure que l’équipe grandit et que les offres de produits se diversifient, AVA continue de consolider ses racines en tant que jeune pousse agrotechnologique canadienne des plus prometteuses.

« Le programme Google for Startups Accelerator Canada nous a aidés à croître, au sens propre et au sens figuré! Nos mentors ont fait des observations judicieuses et de grande qualité, de l’expérience utilisateur au matériel informatique, même dans un marché très ciblé comme le nôtre. On a pu ainsi accélérer notre processus de développement de produits et nos initiatives de croissance. » 

 
 
 
 

L’impact de Google sur l’économie et les entreprises canadiennes

Relations entre les entreprises et la clientèle

Les entreprises canadiennes se tournent de plus en plus vers les outils Google comme Recherche et Ads pour mieux atteindre des clients partout au Canada et dans le monde.

Ces liens, possibles grâce à Google, ont un effet domino sur la capacité des entreprises à répondre aux besoins des clients, surtout dans les situations où les affaires sont précaires et incertaines comme pendant la pandémie de COVID-19. Lors de notre sondage auprès des entreprises, l’équivalent de plus de 300 000 entreprises canadiennes (24 %) nous ont indiqué qu’il aurait été impossible de poursuivre leurs activités sans l’utilisation d’outils en ligne pendant la pandémie de COVID-19, et un autre 22 % ont indiqué que la situation aurait été considérablement plus difficile sans ces outils.

En outre, 71 % des entreprises ont déclaré que la recherche en ligne représentait un moyen important pour que les clients les trouvent sur Internet. Les Canadiens et Canadiennes considèrent également que des outils comme Recherche et Maps sont importants pour trouver de nouvelles entreprises locales à essayer :

Être facile à trouver en ligne peut s’avérer particulièrement important pour les petites entreprises qui souhaitent gagner en visibilité. Selon notre sondage, 63 % des petites entreprises s’entendaient pour dire que les moteurs de recherche en ligne ont beaucoup aidé les clients locaux à trouver leur entreprise4.

Par ailleurs, en moyenne, les petites entreprises estiment que Recherche Google a contribué à près de 22 % de leur nouvelle clientèle, alors que l’équivalent de plus de 470 000 entreprises conviennent que leurs activités ne pourraient avoir lieu sans les clients provenant de Recherche ou de la publicité en ligne.

Frédéric Aubé, Cozey

Frédéric Aubé, qui connaît de près les défis liés à l’achat et à l’assemblage de meubles au Canada, a vu une occasion d’accélérer, de faciliter et de simplifier le processus. Avec cet objectif en tête, il a donc lancé Cozey, une entreprise de meuble montréalaise, en pleine pandémie. Pendant les deux dernières années, Frédéric et son équipe se sont efforcés de moderniser l’industrie canadienne de la décoration et du mode de vie, un salon à la fois. Les divans de Cozey sont livrés en plusieurs petites boîtes, ce qui simplifie le transport et l’assemblage. Ils sont également modulaires, ce qui permet aux clients de les transformer sans devoir en acheter et en assembler de nouveaux.

Puisque Cozey est une entreprise en contact direct avec les clients, sa croissance repose sur sa capacité à atteindre les clients potentiels là où ils se trouvent. Comprenant que bon nombre de Canadiens commencent leurs recherches pour des meubles sur Google, Cozey a profité de Recherche Google et des annonces Shopping pour faire connaître sa marque puis s’est tourné vers les campagnes Performance Max pour aider les clients potentiels à trouver le produit idéal. Ainsi, l’entreprise a pu multiplier son taux de clics par 24 depuis 2020 et constate que 30 % de ses clients ont directement interagi avec une de ses campagnes Google Ads. Cette croissance des ventes grâce à la publicité numérique se ressent également dans la taille de l’équipe, qui est passée de 3 à 40 employés en seulement un an et demi.

Depuis 2020, Cozey travaille avec une équipe stratégique de Google Canada qui offre du soutien personnalisé en matière de publicité numérique et qui a comme objectif d’appuyer les entreprises canadiennes à fort potentiel grâce à des conseils en optimisation de campagnes et en marketing. Cozey a donc pu étendre ses activités au-delà du Québec et offre désormais ses services partout au Canada.

Cozey sait que de nombreuses autres occasions de croissance se présenteront. « Pour le moment, nous offrons seulement des meubles de salon, indique Félix Robitaille, directeur marketing de Cozey, mais nous souhaitons un jour pouvoir vendre des meubles pour toute la maison. Et nous voulons le faire en nous assurant que les meubles Cozey restent pratiques, élégants et abordables. »

Google Ads

En moyenne, Google estime que pour chaque dollar qu’une entreprise consacre à Google Ads, elle récolte un bénéfice de 8 $ provenant de Recherche Google et de Google Ads. Ces chiffres reposent sur deux hypothèses prudentes :

  1. D’abord, nous présumons que les entreprises produisent en moyenne un revenu de 2 $ pour chaque dollar investi dans les publicités Google Ads.
  2. Notre deuxième hypothèse, c’est que dans l’ensemble, les entreprises obtiennent une moyenne de cinq clics dans les résultats organiques pour chaque clic sur leurs publicités.

De façon prudente, nous estimons que les clics dans les résultats de recherche sont environ 70 % aussi fructueux que les clics sur des publicités, entraînant un bénéfice net pour les annonceurs huit fois supérieur aux sommes qu’ils consacrent à Google Ads. Une explication plus détaillée de cette approche se retrouve à la section Méthodologie du présent rapport et à la page economicimpact.google.com/methodology.

Dans l’ensemble, les ventes supplémentaires générées grâce aux clients trouvés par l’entremise de Google ont entraîné une hausse considérable du chiffre d’affaires pour les entreprises canadiennes. En 2021, nous estimons que Recherche et Ads ont contribué à hauteur de 33 milliards de dollars aux activités économiques des entreprises au Canada.

Développeurs Android

Grâce à son modèle sans frais en source libre, Android a été adopté par une grande majorité des fabricants d’équipement d’origine dans le monde. Pour les développeurs, cela peut occasionner de grosses économies de temps et d’argent, notamment puisqu’ils n’ont pas à faire le portage et la mise à jour de leurs applis sur de nombreuses plateformes différentes. Selon nous, grâce à Android, les développeurs ont fait un gain total de plus de 600 000 jours à l’échelle du pays, ce qui correspond à une réduction de coûts de développement équivalant à 240 millions de dollars.

Au total, en 2021, nous estimons que l’économie des applis Android a généré des recettes de plus d’un milliard de dollars pour les développeurs canadiens5, tandis que l’écosystème des développeurs Android soutient plus de 247 000 emplois à l’échelle du Canada6.

Créateurs YouTube

De même, YouTube fournit une plateforme aux entrepreneurs créatifs et aux créateurs de contenu canadiens qui souhaitent développer une entreprise et avoir du succès localement et à l’échelle internationale :

  • Au Canada, plus de 550 chaînes comptent plus d’un million d’abonnés, ce qui correspond à une augmentation de 20 %, d’un exercice à l’autre7.
  • Au Canada, le nombre de chaînes YouTube dont le chiffre d’affaires annuel en dollars canadiens équivaut à 100 000 $ et plus s’avère en hausse de 35 %, d’un exercice à l’autre8.
  • Plus de 90 % de la durée de visionnement de contenu produit par des chaînes canadiennes provient de l’extérieur du pays9, et selon les données d’un sondage réalisé par Oxford Economics, 78 % des entrepreneurs créatifs conviennent que YouTube les aide à exporter leur contenu pour un public international auquel ils n’auraient autrement pas accès10.
  • De plus, selon une étude effectuée par Oxford Economics, en 2021, l’écosystème créatif de YouTube a directement contribué au PIB canadien à hauteur de 1,1 milliard de dollars canadiens et soutenu 34 600 emplois équivalents temps plein (ETP) au pays11.
« La beauté prend plusieurs formes, et ma chaîne YouTube permet à toutes les personnes, surtout les femmes noires, de se sentir représentées et d'être inspirées à toujours avoir confiance en elles au naturel. » Adanna Madueke, Créatrice
youtube.com/AdannaMadueke

Denis Fortier, YouTubeur et physiothérapeute

Pour des millions de personnes dans le monde, les soins de santé sont inaccessibles et compliqués. Mais le physiothérapeute, auteur, chroniqueur et créateur de contenu québécois Denis Fortier est en voie de changer cette réalité.

Denis est physiothérapeute depuis plus de 30 ans. Au cours des années, il a aidé des milliers de patients en leur offrant des solutions simples pour les aider à adopter des habitudes de vie plus saines. Maintenant, il fait la même chose pour un public francophone, partout dans le monde, en partageant des tutoriels vidéo sur YouTube, afin d’aider à démystifier la santé pour son public international de plus de 500 000 abonnés.

Les sujets des tutoriels de Denis sont variés, allant des traitements et de la gestion de la douleur jusqu’à la santé des articulations et aux effets du vieillissement. Son objectif principal dans chaque vidéo est de vulgariser les concepts de santé et de science, pour qu’ils soient faciles à comprendre, et il cherche à montrer aux gens, étape par étape, comment être en bonne santé optimale et le rester. 

Les outils d’analyse de YouTube sont un aspect clé de ce travail. Denis peut suivre son auditoire et adapter son contenu pour qu’il corresponde aux besoins de son public, s’assurant que sa pratique reste agréable et centrée sur les gens. « Le facteur humain est fondamental, » explique Denis. « Je suis ravi que ma chaîne puisse aider à rendre les soins de santé plus humains pour tant de personnes. »

Denis ajoute que ses conversations avec les spectateurs sont riches et constructives. Pour certains de ses spectateurs, ses vidéos sont de véritables bouées de sauvetage, car la physiothérapie et les soins médicaux de base ne sont pas disponibles dans leur localité. On lui dit souvent que ses vidéos ont aidé des spectateurs à mieux comprendre leur condition ou les ont encouragés à consulter un professionnel quand ils en avaient besoin. D’autres médecins dans le domaine ont aussi utilisé les vidéos de Denis comme matériel complémentaire.

La présence numérique de Denis lui a permis d’augmenter ses occasions professionnelles. Il a été en mesure de créer des liens avec des professionnels de la santé et d’écrire huit livres, publiés au Canada, en Belgique, en France et en Chine.

L’impact des produits et des programmes Google sur les Canadiens et Canadiennes ainsi que leur famille

À l’instar des répercussions de Google sur l’économie canadienne, la valeur créée pour les consommateurs et les familles canadiennes est significative. En améliorant l’accessibilité à une vaste quantité d’information grâce à Internet, les produits de Google aident les Canadiens et Canadiennes à gagner du temps, à apprendre de nouvelles choses et à rester informés. La majeure partie de cette valeur n’est toujours pas prise en compte dans les mesures économiques traditionnelles comme le PIB.

Retombées de Recherche Google

Selon Hal Varian, économiste en chef chez Google, les utilisateurs de Recherche Google font en moyenne un gain de 23 heures par année grâce à l’outil comparativement aux autres formes de recherche12. Cela représente une journée complète de plus de temps libre par année pour passer des moments entre amis et avec sa famille ou pour apprendre de nouvelles choses.

Dans notre sondage auprès des consommateurs, les Canadiens et Canadiennes nous ont partagé les différentes manières dont Recherche Google les aide au quotidien :

Les renseignements trouvés grâce à Recherche Google ont des effets réels pour les gens partout au pays :

Propulser la recherche d’emploi et le perfectionnement professionnel

Les Canadiens et Canadiennes utilisent Recherche Google pour les aider dans leur parcours professionnel et leur recherche d’emploi; il s’agit de l’un des types d’information les plus importants que procure l’outil. Selon notre sondage, cela est particulièrement vrai pour les jeunes au pays :

Certificats de carrière Google

Pour soutenir directement les Canadiens et Canadiennes qui cherchent un nouvel emploi ou qui souhaitent améliorer leurs compétences, Google Canada a annoncé en 2021 une subvention de
2 millions de dollars de Google.org pour offrir une formation de six mois aux chercheurs d’emploi canadiens désirant se lancer professionnellement dans le milieu de la technologie. Ainsi, Google.org a notamment accordé une subvention de trois ans à NPower Canada pour mieux soutenir les participants du programme Certificats de carrière Google, et plus principalement les jeunes adultes canadiens de communautés mal desservies.

Ce financement a eu de grandes retombées à ce jour :

Jorge Gonzalez, diplômé du programme Certificats de carrière Google

En tant qu’aîné de sa famille, Jorge Gonzalez a senti très jeune la pression d’aider à soutenir financièrement sa famille. Il a donc travaillé tout au long de ses études secondaires et a même décidé de ne pas poursuivre ses études collégiales afin de continuer à soutenir sa famille, notamment comme agent de sécurité et comme travailleur saisonnier dans la construction. Bien que sa véritable passion ait toujours été les TI, il n’arrivait pas à y décrocher de véritable travail car il n’avait pas de formation formelle ni d’expérience dans le domaine. Il peinait à joindre les deux bouts pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa femme. 

Tout a changé lorsque Jorge a perdu son emploi pendant deux mois, à la suite d’une blessure. Pendant sa convalescence, sa famille l’a encouragé à faire une demande de bourse pour un Certificat de carrière Google. Ses frères et sœurs étaient eux-mêmes diplômés du programme et ils savaient que cette bourse pourrait aider Jorge à atteindre ses objectifs. Il a été accepté en janvier 2022 et a même réussi à décrocher un emploi en TI avant la fin de son diplôme.

« Ma famille m’a dit “Tu peux y arriver, mais tu dois être concentré,” explique Jorge. Il faut vraiment travailler fort pour réussir. J’avais vu les résultats chez mes frères et sœurs, alors j’ai essayé et j’ai adoré ça. »

NPower Canada est complémentaire au programme Certificats de carrière Google, car 20 % du temps de classe est consacré au développement professionnel, incluant la rédaction de CV, le réseautage, des conseils sur comment communiquer avec un gestionnaire et des conseils sur la préparation à une entrevue pour les récipiendaires de bourse. Le programme offre aussi de l’orientation professionnelle pour aider les apprenants, comme Jorge, à trouver des emplois qui correspondent à leurs intérêts. En tant que diplômé du programme, Jorge continuera de recevoir du soutien pendant cinq ans.

En 2021, Google a annoncé l’octroi d’une subvention de
2 millions de dollars au cours des trois prochaines années afin que NPower Canada puisse offrir des bourses, du soutien pédagogique et du soutien général aux Canadiens et Canadiennes participant au programme Certificats de carrière Google. Après avoir complété le programme en Alberta, Jorge a obtenu un poste de technicien au soutien des produits chez TouchBistro.« Ce programme a transformé ma vie, » ajoute Jorge. « Il a changé la vie des membres de ma famille. Parfois, il est impossible de voir au-delà de ses problèmes, et ce programme m’a donné un sérieux coup de pouce pour m’en sortir. »

Google soutient aussi l’apprentissage en classe

Compte tenu du fait que la technologie joue un rôle sans cesse croissant dans la vie des Canadiens et Canadiennes, Google Classroom contribue grandement à l’apprentissage scolaire et a aidé autant les enfants que les parents, notamment lorsque les écoles ont dû fermer en raison de la pandémie. Plus de la moitié (60 %) des parents canadiens ont déclaré que leurs enfants ont utilisé Google Classroom, et parmi eux :

Des solutions durables grâce à Google Maps

Le Canada est le deuxième plus grand pays au monde. Notre sondage auprès de la population canadienne utilisant Google Maps pour se déplacer au pays révèle que :

Grâce à Google Maps, le temps passé en déplacement et la distance parcourue par les Canadiens et Canadiennes sont réduits, ce qui est non seulement efficace pour les utilisateurs, mais aussi bénéfique pour la planète. Au total, nous estimons que Google Maps aide les Canadiens et Canadiennes à faire un gain de plus de 253 millions d’heures de conduite par année, ce qui en retour évite la production de plus de 2 millions de tonnes d’émissions de CO2 par les véhicules par an. Ce chiffre représente l’équivalent des émissions de plus de 840 000 vols d'avion.

Quelle valeur globale les Canadiens et Canadiennes en tirent-ils?

Dans le cadre de notre sondage, nous avons également demandé directement aux Canadiens et Canadiennes à quel prix ils seraient prêts à renoncer aux produits de Google. À partir de ces données, nous avons pu estimer le surplus du consommateur créé par les services de Google.

Le surplus du consommateur représente la différence entre ce qu’une personne serait théoriquement prête à payer, et ce qu’elle paie réellement pour un produit. Cette donnée est calculée par personne, et non par ménage, et représente donc le montant que chaque Canadien ou Canadienne serait, personnellement, prêt·e à payer. Dans bien des cas, et surtout pour les produits sans frais comme ceux de Google, le surplus du consommateur peut être une meilleure mesure du bien-être du consommateur que le PIB.

Au total, nous estimons que les produits essentiels de Google créent un surplus du consommateur de 79 $ par mois pour le Canadien moyen. En additionnant le surplus du consommateur de tous les Canadiens et Canadiennes, la part de l’économie équivalente serait plus grande ou égale à notre estimation de l’impact économique de Google sur le PIB.

 
 
 
 

Les opportunités générées grâce à la transformation numérique

La technologie numérique consiste en l’un des moteurs les plus puissants de l’amélioration de la productivité. Elle entraîne également des hausses de salaire et augmente la qualité de vie des Canadiens et Canadiennes.

Selon une étude de Forrester Consulting, le déploiement de Google Workspace, y compris les outils comme Gmail, Disque, Agenda, Meet, Documents, Feuilles de calcul et Présentations, peut faire gagner aux employés de 15 minutes à deux heures par semaine grâce à une collaboration plus efficace16. Selon ces données et d’autres études sur les gains de temps réalisés grâce à Recherche Google17, au cours d’une année donnée, les services Google pourraient amener une amélioration de la productivité équivalant à 30 milliards de dollars pour l’économie canadienne18.

L’émergence de technologies clés offre continuellement de nouvelles opportunités pour les entreprises souhaitant se développer davantage et devenir plus flexibles :

  • Outils infonuagiques. Les outils infonuagiques, comme les suites bureautiques en ligne et le clavardage, aident les travailleurs à mieux collaborer, à maintenir leurs renseignements à jour et à agir rapidement. En moyenne, des études ont démontré que même des outils relativement basiques comme la planification des ressources d’entreprise (ERP) ou la gestion des relations client (CRM) peuvent stimuler la productivité sous-jacente d’une entreprise de 10 à 25 %19.
  • Apprentissage automatique. Des domaines comme la science des données, les données volumineuses et l’intelligence artificielle complèteront de plus en plus le travail des employés actuels, en plus d’automatiser les flux de travail existants et de rendre les processus d’affaires plus intelligents et plus ciblés. Selon Accenture, l’intelligence artificielle pourrait stimuler la productivité de la main-d’œuvre au Canada jusqu’à 23 % d’ici 202520.
  • Commerce électronique. Des outils comme la publicité en ligne, le paiement électronique et le commerce électronique à grande échelle peuvent aider les entreprises à atteindre de nouvelles clientèles, et ce, localement et à l’échelle internationale. Des études précédentes ont révélé que le commerce électronique peut stimuler l’ensemble des chiffres d’affaires dans un marché allant de 5 à 30 %21.

Chaque jour, de petites entreprises partout au pays font leur entrée sur le Web. Il existe cependant bien d’autres opportunités dont elles peuvent profiter grâce aux nouvelles technologies. Notre sondage a d’ailleurs révélé que :

  • 64 % des PME faisaient de la publicité en ligne.
  • Seulement 43 % des PME utilisaient l’infonuagique
  • Seulement 12 % des PME utilisaient l’IA ou l’apprentissage automatique.

Dans le cadre de notre sondage, nous avons aussi demandé aux entreprises canadiennes de nommer le plus gros obstacle auquel elles ont été confrontées lors de l’adoption de nouvelles technologies. Leurs réponses concernaient rarement des obstacles financiers; seulement 3 % des entreprises ont affirmé que ces technologies étaient trop dispendieuses. Les éléments cités les plus fréquemment étaient plutôt :

  • La formation du personnel en lien avec les nouveaux outils. Les entreprises affirment qu’il peut être difficile d’encourager l’adoption de la solution par leurs employés.
  • L’intégration des nouvelles solutions avec les systèmes actuels. Bon nombre d’entreprises s’inquiètent de la manière dont les nouvelles technologies peuvent s’intégrer à leur système actuel ainsi que des stratégies à adopter pour ne pas perdre de renseignements importants lors de la transition.
  • Le manque de temps. D’autres entreprises se soucient du temps nécessaire pour faire la transition et pour former le personnel par rapport au nouveau système, et bon nombre d’entre elles soulignent également la difficulté de rester à jour avec les technologies, qu’elles considèrent comme étant en constante évolution.

Si l’adoption de technologies numériques essentielles pouvait être stimulée parmi les petites et moyennes entreprises pour atteindre le niveau d’autres pays bien développés au plan économique, comme la Finlande ou les Pays-Bas, nous estimons que l’économie canadienne totale pourrait augmenter de plus de 80 milliards de dollars.

Les opportunités pouvant être générées par l’adoption de la technologie numérique sont apparues clairement dans notre sondage auprès des propriétaires d’entreprises autochtones, que nous avons lancé en partenariat avec le Conseil canadien pour l’entreprise autochtone (CCEA). Nous avons découvert que 58 % des propriétaires d’entreprise autochtones se décrivaient comme des utilisateurs précoces des nouvelles technologies, comparativement à 25 % des propriétaires d’entreprise canadiens. Cette tendance est cohérente avec celles du rapport de Services économiques TD de 2017, qui soulignait que les entreprises autochtones, par rapport aux sociétés non autochtones, étaient deux fois plus susceptibles d’avoir adopté un nouveau produit ou service au cours des trois dernières années et trois fois plus susceptibles d’avoir changé certains processus de travail22.

Entreprises dirigées par des Autochtones au Canada23

Selon une étude menée par le Conseil canadien pour l’entreprise autochtone (CCEA), bien que la majorité des entreprises dirigées par des Autochtones disposent d’une connexion Internet, un tiers ne possède pas d’accès fiable. Ces statistiques proviennent d’observations selon lesquelles 63 % des entreprises dans les réserves déclarent avoir un accès fiable à Internet comparé à 72 % des entreprises qui se trouvent hors des réserves24.

Toutefois, les entreprises dirigées par des Autochtones au pays et que nous avons abordées utilisent régulièrement des outils en ligne, et ce, de manière plus fréquente que l’entreprise moyenne canadienne, autant pour la vente de produits ou de services en ligne (66 % vs 57 %) que pour la prise de paiements (77 % vs 68 %).

De plus, selon notre étude, les entreprises dirigées par des Autochtones utilisent des outils numériques comme la recherche en ligne (75 %) et la publicité en ligne (61 %) pour atteindre de nouveaux clients. Cette tendance s’est considérablement accrue depuis la pandémie, avec 57 % des entreprises dirigées par des Autochtones abordées qui déclarent avoir maintenu ou augmenté leurs dépenses liées à Google Ads depuis mars 2020. Cette méthode s’est avérée payante pour les entreprises avec qui nous faisons affaire : près d’un quart (24 %)des entreprises dirigées par des Autochtones mentionnent qu’au moins la moitié de leurs nouveaux clients les ont trouvées à l’aide d’une recherche en ligne.

Au sujet des obstacles à l’acquisition de talents, 44 % des entreprises dirigées par des Autochtones abordées ont déclaré avoir du mal à trouver du personnel compétent en matière de numérique, comparé à 31 % des entreprises à l’échelle du pays. Cependant, les compétences technologiques sont évidemment très valorisées : 49 % des entreprises dirigées par des Autochtones ont indiqué qu’elles emploient des programmeurs ou des développeurs, et 42 % ont mentionné embaucher des scientifiques des données ou des analystes de données, comparé à 23 % et à 11 % respectivement pour toutes les entreprises au pays.

« La transition du Canada vers l’économie numérique est déjà amorcée, et les résultats de ce sondage confirment que les peuples autochtones sont positionnés pour ouvrir la voie. Les propriétaires d’entreprise autochtones sont des innovateurs résilients qui ont pris l’initiative de repenser leurs activités commerciales à l’ère du numérique, mais ils ne peuvent pas le faire seuls. Ils ont besoin d’être appuyés par de la recherche axée sur la réalité autochtone afin de pouvoir faire face aux défis de la nouvelle économie. »PDG du CCEA, Mme Tabatha Bull

Ces résultats indiquent qu’il existe un énorme potentiel pour l’investissement continu dans la formation en compétences numériques et l’adoption de technologies numériques. De plus, outiller les gens avec ce type de compétences peut être un moteur important pour l’économie générale. Si le Canada continue d’investir dans l’acquisition de compétences numériques de base et réussit à atteindre le niveau des pays les plus performants de l’OCDE en la matière, nous estimons que l’économie canadienne pourrait générer 9 milliards de dollars supplémentaires.

Voilà ce que s’engage à faire Google en offrant les cours Certificats de carrière Google et en appuyant des organisations comme ComIT, un organisme sans but lucratif qui offre des programmes éducatifs pour refermer l’écart entre les employeurs locaux cherchant des employés très qualifiés et les chercheurs d’emploi qui peinent à trouver des occasions de développement professionnel.

Pablo Listingart, ComIT

En 2011, Pablo Listingart, fondateur et directeur général de ComIT, a fondé un organisme de bienfaisance pour aider à combler les lacunes en matière de compétences technologiques dans son pays natal, l’Argentine. Lorsque sa famille a immigré au Canada en 2015, Pablo a voulu renouveler son succès pour les nouveaux arrivants, les réfugiés, les communautés autochtones et les chercheurs d’emploi partout au Canada. 

Et c’est ici que ComIT entre en jeu : l’organisme de bienfaisance canadien de Pablo aide les personnes qui peinent à surmonter les défis liés au chômage en les mettant en contact avec des entreprises en quête de professionnels des TI de talent. Sur une période de trois mois, les étudiants de ComIT passent huit heures par semaine à apprendre la logique de base de la programmation et certains langages courants, comme Java, .Net et React.

Inspirée par la mission de Pablo, Google Canada appuie ComIT depuis ses débuts en offrant des congés à ses employés pour qu’ils puissent y faire du bénévolat. Lorsque ComIT a lancé son projet-pilote canadien en 2017, 12 des 14 étudiants qui ont complété le programme ont reçu des offres d’emploi en seulement quelques mois. Depuis, plus de 1 000 étudiants ont complété le programme de ComIT et plus de 700 d’entre eux ont trouvé un emploi, et ce, à l’échelle du pays. 

ComIT est un service sans frais pour ses étudiants, financé par des subventions et des dons. Grâce à deux subventions offertes par Google.org en 2020 et en 2021, totalisant 750 000 $, ComIT a été en mesure d’offrir un nouveau programme qui offre du soutien à des chercheurs d’emploi provenant de communautés autochtones. Plus de 1 600 étudiants se sont inscrits au programme jusqu’à maintenant. ComIT offre des possibilités de formation aux personnes qui en ont besoin afin qu’elles puissent percer au sein de l’industrie des technologies. Pablo dit que l’impact économique du programme de ComIT n’est pas seulement considérable, il est aussi personnel. « Nous essayons d’offrir une première chance aux gens », explique Pablo. « Nous vivons dans un monde où les premières chances se font rares, mais parfois, c’est tout ce qu’il faut pour changer la vie des gens. »

 
 
 
 

Annexe - Méthodologie

Avantages pour le consommateur

Recherche Google

Notre estimation générale du surplus du consommateur total de Recherche Google est calculée à partir de la moyenne géométrique des éléments suivants :

  • Gain de temps. D’après la méthodologie de Varian (2011), nous estimons que l’utilisation de Google permet de gagner 15 minutes par question avec réponse et qu’une personne pose en moyenne une question tous les deux jours. Le gain de temps est évalué par rapport aux données de sondage autodéclaré sur les revenus moyens, et nous avons appliqué l’estimation globale en fonction des estimations tierces de la prévalence d’Internet et de l’information du sondage sur l’utilisation de Recherche Google. (Plus d’information sur cette approche générale est disponible dans la présentation sur la valeur économique de Google, réalisée par l’économiste en chef de Google, Hal Varian.)
  • Préférence déclarée (volonté d’accepter). Dans le cadre de notre sondage, nous avons posé une question à choix binaire discrète aux participants : « Préféreriez-vous garder accès à Recherche Google ou ne pas y avoir accès pendant un mois et recevoir [montant]? ». Le montant indiqué, randomisé, était 1,25 $, 2,50 $, 5 $, 10 $, 20 $, 50 $, 100 $, 200 $ ou 500 $. Nous avons effectué une régression linéaire des résultats de ce sondage afin d’obtenir une courbe de demande, et nous l’avons utilisée pour calculer le surplus total du consommateur par utilisateur. Pour terminer, nous avons appliqué cette estimation en fonction d’estimations tierces de la prévalence d’Internet et de l’information du sondage sur l’utilisation de Recherche Google.

D’après Brynjolfsson et al. (2017), pour notre question de préférence déclarée, nous avons opté pour le format de volonté d’accepter plutôt que celui de la volonté de payer. Nous estimions ainsi que le statu quo y correspondait mieux étant donné que la majorité des services de Google sont offerts sans frais à l’utilisateur final et ne nécessitent aucun investissement de départ.

Comme pour plusieurs autres produits, la moyenne du surplus du consommateur est bien plus élevée que la médiane. En d’autres mots, certains utilisateurs intensifs l’utilisent de manière disproportionnée par rapport à la moyenne.

Pour éviter que nos chiffres sur le plan des ménages ne soient trompeurs, nous les avons basés non pas sur la valeur moyenne d’un ménage pour la compensation de la volonté d’accepter, mais plutôt sur une estimation distincte de la volonté d’accepter moyenne. Nous avons obtenu ces données en effectuant de nouveau une régression de nos données de sondage, à l’aide de la méthode exponentielle que nous estimions plus susceptible de représenter avec exactitude les résultats de distribution.

Google Maps

Notre estimation générale du surplus du consommateur total de Google Maps est calculée à partir de la moyenne géométrique des éléments suivants :

  • Gain de temps. Nous calculons le gain de temps découlant de l’utilisation de Google Maps à l’aide d’estimations de gain de temps selon des systèmes avancés d’information sur les voyageurs d’après Levinson (2003) et le temps total passé en déplacement par mode tiré de notre sondage, calibré en fonction de données canadiennes sur le temps total passé à voyager pour aller travailler. Le gain de temps est évalué à 37,5 % du salaire horaire estimé des utilisateurs de Google Maps.
  • Préférence déclarée. Comme pour Recherche Google, nous avons demandé aux participants du sondage de répondre à une question à choix binaire discrète : « Préféreriez-vous garder accès à Google Maps ou ne pas y avoir accès pendant un mois et recevoir [montant]? ». Le montant indiqué, randomisé, était 1,25 $, 2,50 $, 5 $, 10 $, 20 $, 50 $, 100 $, 200 $ ou 500 $. Nous avons effectué une régression linéaire des résultats de ce sondage afin d’obtenir une courbe de demande, et nous l’avons utilisée pour calculer le surplus total du consommateur par utilisateur. Pour terminer, nous avons appliqué cette estimation en fonction d’estimations tierces de la prévalence d’Internet et de l’information du sondage.

Afin de convertir le gain de temps généré par Google Maps en économie d’essence, nous l’avons d’abord transformé en une distance estimée de kilomètres gagnés en la multipliant par une vitesse de déplacement moyenne présumée pour la conduite automobile. Nous l’avons ensuite combiné aux données d’IEA sur l’économie d’essence moyenne afin d’estimer l’économie d’essence totale.

Afin d’estimer la quantité d’émissions de CO2 évitées, nous avons utilisé les données de l’OCDE sur les émissions du transport routier pour estimer les émissions de CO2 par kilomètre, puis nous les avons combinées au calcul de notre estimation du nombre total de kilomètres de conduite ayant été évité.

YouTube, Gmail et Google Documents

Étant donné que nous n’avions aucune estimation de gain de temps générée par ces produits, nous avons plutôt utilisé une fois de plus les estimations tirées des préférences déclarées, avec la même procédure. Nous avons donc demandé aux participants de notre sondage une question à choix binaire discrète : « Préféreriez-vous garder accès à [Gmail / Google Documents] ou ne pas y avoir accès pendant un mois et recevoir [montant]? ». Le montant indiqué, randomisé, était 1,25 $, 2,50 $, 5 $, 10 $, 20 $, 50 $, 100 $, 200 $ ou 500 $. Nous avons effectué une régression linéaire des résultats de ce sondage afin d’obtenir une courbe de demande, et nous l’avons utilisée pour calculer le surplus total du consommateur par utilisateur. Pour terminer, nous avons appliqué cette estimation en fonction d’estimations tierces de la prévalence d’Internet et de l’information du sondage sur l’utilisation de chaque produit. Par ailleurs, nous avons réalisé une estimation distincte de la compensation moyenne liée à la volonté d’accepter pour chaque produit, donnée employée pour les estimations par personne et par ménage mentionnées.

Android

En plus de mesurer le surplus du consommateur individuel de chaque service de Google, nous avons également étudié le surplus du consommateur général des téléphones intelligents au Canada.

Nous avons demandé aux participants de notre sondage une question à choix binaire discrète :
« Préféreriez-vous garder accès à votre téléphone intelligent ou ne pas y avoir accès pendant un mois et recevoir [montant]? ». Le montant indiqué, randomisé, était 1,25 $, 2,50 $, 5 $, 10 $, 20 $, 50 $, 100 $, 200 $ ou 500 $.

Nous avons ensuite appliqué ce chiffre à la part de marché d’Android au Canada et à l’estimation d’après Lee (2016) de la proportion du surplus net du consommateur de téléphone intelligent, à l’exception de la valeur de substitution.

Étant donné le recoupement avec nos différents services (l’une des raisons pour lesquelles notre téléphone est si important est qu’il nous donne accès à Recherche, Maps, Gmail et YouTube) et la difficulté à départager la valeur attribuable aux aspects logiciels et matériels, nous n’avons pas tenu compte de ce chiffre lorsque nous avons estimé la valeur totale créée par Google au Canada.



Avantages pour l’entreprise

Google Ads

À l’instar du précédent créé par les rapports antérieurs sur l’impact de Google, nous utilisons des données de tiers pour estimer la taille totale du marché canadien de Google Ads, en établissant la moyenne de deux types d’estimations :

  • Une estimation descendante combinant des données tirées du rapport Divertissement et médias – Perspectives mondiales de PWC sur l’ensemble du marché canadien des recherches payantes avec d’autres estimations de la part de marché de Google.
  • Une estimation ascendante combinant des estimations du nombre moyen de publicités vues par des Canadiens et Canadiennes sur Recherche Google selon notre sondage, avec des données de tiers sur le coût par clic moyen (CPC) et les taux de clics (CTR) tirées de WordStream (2018).

À partir de la méthodologie utilisée dans le Rapport sur l’impact économique de Google américain, nous appliquons à ce chiffre d’affaires un facteur de rendement du capital investi (RCI) de 8, qui repose sur les hypothèses suivantes :

  • Des estimations de Varian (2009) selon lesquelles les entreprises touchent en moyenne 2 $ pour chaque dollar investi dans Google Ads (auparavant AdWords).
  • Des estimations de Jansen and Spink (2009) selon lesquelles les entreprises reçoivent cinq clics dans leurs résultats de recherche pour chaque clic sur l’une de leurs annonces.
  • http://think.storage.googleapis.com/docs/canada-economic-impact-report.pdf Google estime que la valeur des clics dans les résultats de recherche se chiffre à environ 70 % des clics sur les annonces.
  • Le RCI total est donc égal à 2 x dépenses + 70 % x 5 x 2 x dépenses – dépenses = 8 (dépenses).

Vous trouverez plus de renseignements à propos de cette méthodologie à l’adresse suivante : https://economicimpact.google.com/methodology/

Dans le cadre de notre sondage auprès des entreprises, nous avons demandé aux utilisateurs de Google Ads d’estimer la proportion de leurs dépenses ciblant les clients à l’étranger. À partir de cela, nous avons fait une estimation prudente de la proportion de l’impact général de Google au Canada qui contribuait à l’augmentation de l’exportation au pays.

AdSense

Afin d’estimer le total des revenus canadiens pour AdSense, nous appliquons les coûts d’acquisition totaux du trafic de Google en 2021 pour les membres du réseau en fonction de la part canadienne des dépenses mondiales sur le Réseau Display, tirés du rapport Divertissement et médias – Perspectives mondiales de PWC.

Par ailleurs, en envisageant l’impact économique pour l’ensemble du Canada, nous incluons aussi les retombées estimées pour les annonceurs, en nous appuyant sur le RCI estimatif des publicités du Réseau Display de Kireyev et al. (2013).

Google Cloud

Afin d’estimer l’impact total sur le plan de la productivité de Google Cloud au Canada, nous combinons les éléments suivants :

  • Les données d’IDC sur les recettes totales de Google Cloud en 2021.
  • L’hypothèse selon laquelle chaque dollar investi par nos utilisateurs dans les services de Google Cloud génère un bénéfice net.

Gains de temps des entreprises

Nous établissons une estimation de la valeur des gains de temps réalisés par les entreprises grâce à Recherche Google à partir de ce qui suit :

  • En fonction des proportions de participants à notre sondage auprès des consommateurs qui affirment que chaque outil est important au travail, nous présumons que 70 % des Canadiens et Canadiennes utilisent Recherche Google au travail et 46 % utilisent Google Workspace.
  • Selon les données de Forrester Consulting, nous présumons que chaque utilisateur de Google Workspace gagne entre 15 minutes et 2 heures par semaine.
  • Pour Recherche Google, nous présumons de façon prudente que les travailleurs recherchent une question par semaine, et que cela leur fait gagner 15 minutes selon Varian (2013).

Nous convertissons le nombre total d’heures en équivalent monétaire en le divisant par le résultat moyen canadien par heure.

Android

Afin d’évaluer la part de revenus des développeurs Android, nous appliquons les données de Business of Apps (2021) aux dépenses mondiales des consommateurs dans Google Play selon les estimations de Caribou Digital (2016) sur la part canadienne de la valeur totale des sommes consacrées à la boutique d’applis, une part de revenus estimatifs des développeurs et un multiplicateur afin de prendre en compte les emplois de consultation connexes provenant de Gigaom Research (2014).
Les données sur les emplois au sein de l’économie des applis sont tirées des données existantes de Long (2021).

Opportunités numériques

Augmentation de l’adoption des outils numériques par les entreprises
Afin d’estimer les opportunités économiques potentielles issues de la transformation numérique, nous avons :

  • tenu compte de la popularité actuelle de trois principaux outils numériques (infonuagique, planification des ressources d’entreprise, gestion des relations client) d’après notre sondage auprès de petites, moyennes et grandes entreprises;
  • comparé cette popularité pour chaque outil au niveau le plus élevé d’utilisation observé dans les données internes de Public First pour d’autres économies avancées (Royaume-Uni, France, Espagne, Italie, Pays-Bas, Pologne, Finlande) afin de référencer le niveau d’ambition en fonction de l’adoption croissante;
  • utilisé l’impact moyen calculé par rapport à l’impact sur un an et sur la productivité d’affaires de chaque catégorie d’outil d’après l’OCDE (2019).

Augmentation des compétences numériques

Afin d’estimer les opportunités économiques potentielles issues de l’augmentation des compétences numériques de base, nous avons :

  • suivant le précédent établi par l’ I-DESI, , utilisé les données de l’OCDE sur la proportion d’adultes ayant eu recours à un logiciel de traitement de texte au cours de la dernière année pour évaluer la prévalence des compétences numériques de base.
  • présumé que cette valeur augmentait pour atteindre le taux maximum observé dans l’ensemble de l’OCDE.
  • présumé que l’acquisition de compétences numériques de base entraîne une augmentation de salaire moyenne de 10 %, selon les estimations que nous avons trouvées ici et ici, puis que nous avons ajustées selon la réalité canadienne en fonction de l’estimation de l’OCDE (2017) quant aux répercussions relatives sur les salaires, par pays, pour les emplois où les technologies d’information et de communication sont de plus en plus utilisées.
  • appliqué la situation à un adulte à revenu faible, estimé à 66 % du revenu moyen.

  1. Source : données internes de Google, décembre 2021
  2. Source : données internes de Google, décembre 2021
  3. Valeur estimée à partir de l’impact total de Recherche Google et de Google Ads ainsi que des données autodéclarées des entreprises dans notre sondage sur la proportion moyenne de leur budget de référencement ciblant les clients à l’étranger.
  4. Nous considérons comme une petite entreprise toute entreprise ayant moins de 100 employés.
  5. Modélisation de Public First
  6. https://www.progressivepolicy.org/blogs/the-canadian-app-economy-in-2020/
  7. Source : données internes de YouTube, décembre 2021
  8. Source : données internes de YouTube, décembre 2021
  9. Source : données internes de YouTube, décembre 2021
  10. Source : rapport d’impact de YouTube d’Oxford Economics, 2021
  11. Source : rapport d’impact de YouTube d’Oxford Economics, 2021
  12. Valeur économique de Google, Hal Varian, 2011
  13. Source : données internes de Google, juillet 2022
  14. Source : réponses des diplômés canadiens au sondage, sondage de Google, 2021.
  15. Source : réponses des diplômés canadiens au sondage, sondage de Google, 2021.
  16. Rapport Total Economic Impact sur les applis Google pour le travail, Forrester Consulting, 2015, lien
  17. Valeur économique de Google, Hal Varian, 2011
  18. Estimation de Public First à partir des données de Forrester Consulting (2015) et de Varian (2011)
  19. Voir par exemple les rapports de l’OCDE (2019) ou de l’ONS (2018) (en anglais)
  20. https://www.accenture.com/ca-en/insight-artificial-intelligence-future-growth-canada
  21. Analyse de la documentation de Public First
  22. Rapport spécial de Services économiques TD, Les entreprises autochtones misent de plus en plus sur l’innovation (2017).
  23. Public First a parlé à 174 décideurs de haut niveau dans des entreprises canadiennes gérées par des Autochtones, dans les réserves et hors réserve.
  24. Conseil canadien pour l'entreprise autochtone (2016).